Mon premier est trompettiste (Olivier Jacquel), mon deuxième est saxophoniste (Nicolas Tuaillon), mon troisième est tromboniste (Sylvain Dyrda), mon quatrième est banjoïste (Frédéric Français), mon cinquième est tubiste (Thierry Jacquel), mon sixième est batteur (Laurent Crivisier). Mon tout nous fait voyager vers un ancien territoire français : la Louisiane. Le Blue Dixie Band, le temps d’une soirée, a transporté les 70 spectateurs du centre culturel à la Nouvelle Orléans. Pour un concert de jazz, le jazz apparu dans cet État américain à la fin du XIXe siècle.
Avec leurs vingt années d’expérience et leurs 60 à 80 représentations annuelles, Olivier Jacquel et ses copains nous ont offert un récital de toute beauté, reprenant les standards des plus grands jazzmen de ce style « new orleans ».
Basé aux Forges, le Blue Dixie Band est vraiment un modèle du genre, maîtrisant à merveille ce genre musical intemporel mais ô combien entraînant, rythmé. Le jazz comme on l’aime. Carole Colin et la commission culture bouclait là, en beauté, sa série de concerts gratuits.
Place, maintenant, pour clôturer les animations estivales, au cinéma, avec la comédie musicale « Mamma Mia ! Here we go again », vendredi 21 août, à 21 h, dans la cour de l’école Jean-de-la-Fontaine, au Haut du Gras. Une séance (gratuite) en plein-air pour laquelle chacun est invité à prendre son fauteuil et sa petite couverture s’il souhaite plus de confort.