Les associations sont au point mort. La Covid a mis en sommeil toutes (ou presque) les associations, qu’elles soient sportives, culturelles, de loisirs ou patriotiques. Mais est-ce pour autant que toutes et tous, responsables et adhérent(e)s, restent les bras croisés en attendant que cela se passe ? Bien sûr que non ! Le monde associatif continue de vivre. Sous une forme différente, certes, mais l’électrocardiogramme est loin d’être plat. Car si le lien social que nous chérissons tant, dont nous avons tous besoin, manque, les membres, les dirigeant(e)s ne sont pas aux abonné(e)s absent(e)s.
Alors, comment vivent-ils ce confinement, ces retrouvailles virtuelles ? Nous avons fait le tour des associations golbéennes pour qu’elles nous parlent ce cette situation forcément compliquée. En attendant des jours meilleurs…
« Nous pouvons organiser à nouveau les entraînements mais nous sommes limités à 6 joueurs sur le terrain contre 10 en temps normal et sans contact alors qu’il y avait du contact auparavant, explique Quentin Ravelet, le président de Lorraine Quidditch. La
mesure actuelle, autorisant les déplacements dans un périmètre restreint, nous permet de réunir les adhérents habitant à moins de 10 kilomètres d’Epinal mais les adhérents habitant Nancy n’ont donc pas la possibilité de se déplacer jusqu’aux entraînements se tenant à Epinal. Nous fidélisons nos adhérents en les incluant dans la participation, même à distance, de l’organisation de nos deux événements, le vide-greniers et la journée nationale du quidditch. Enfin, nous maintenons le lien avec nos adhérents habitant Nancy par le biais de nos différents réseaux sociaux. »