Les associations sont au point mort. La Covid a mis en sommeil toutes (ou presque) les associations, qu’elles soient sportives, culturelles, de loisirs ou patriotiques. Mais est-ce pour autant que toutes et tous, responsables et adhérent(e)s, restent les bras croisés en attendant que cela se passe ? Bien sûr que non ! Le monde associatif continue de vivre. Sous une forme différente, certes, mais l’électrocardiogramme est loin d’être plat. Car si le lien social que nous chérissons tant, dont nous avons tous besoin, manque, les membres, les dirigeant(e)s ne sont pas aux abonné(e)s absent(e)s.
Alors, comment vivent-ils ce confinement, ces retrouvailles virtuelles ? Nous avons fait le tour des associations golbéennes pour qu’elles nous parlent ce cette situation forcément compliquée. En attendant des jours meilleurs…
Les matchs de football, on les suit à la télé. Les professionnels ont la chance, eux, de pouvoir poursuivre les compétitions. Pas les amateurs. Paradoxe…
Mais, heureusement, les dirigeants des « petits » clubs ne se laissent pas abattre et font leur maximum pour permettre à leurs licencié(e) d’exister malgré la pandémie. Et tout en respectant les consignes sanitaires.
Alors, en attendant le retour de jours meilleurs, d’une vie sportive normale, à l’ESG, on multiplie les initiatives, on donne aux jeunes, à la relève, la possibilité de continuer à l’éclater dans leur sport favori. Même si les matchs ne sont pas encore à l’ordre du jour.
Un petit film vaut mieux qu’un long discours alors, cliquez sur l’image ci-dessous et suivez les explications de Pierre-Olivier Roth, responsable sportif et Clément Lungo, responsable communication et de la section féminine au sein de la structure golbéenne.