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vie locale

Et pendant ce temps-là…(4)

Les associations sont au point mort. La Covid a mis en sommeil toutes (ou presque) les associations, qu’elles soient sportives, culturelles, de loisirs ou patriotiques. Mais est-ce pour autant que toutes et tous, responsables et adhérent(e)s, restent les bras croisés en attendant que cela se passe ? Bien sûr que non ! Le monde associatif continue de vivre. Sous une forme différente, certes, mais l’électrocardiogramme est loin d’être plat. Car si le lien social que nous chérissons tant, dont nous avons tous besoin, manque, les membres, les dirigeant(e)s ne sont pas aux abonné(e)s absent(e)s.
Alors, comment vivent-ils ce confinement, ces retrouvailles virtuelles ? Nous avons fait le tour des associations golbéennes pour qu’elles nous parlent ce cette situation forcément compliquée. En attendant des jours meilleurs…

La Société des fêtes : avancer dans les projets

En cette période trouble de confinement, déconfinement, reconfinement, la Société des fêtes peine à retrouver son rythme de croisière.
En effet, ses bénévoles ne pouvant se réunir tous ensemble, comme ils avaient plaisir à le faire chaque semaine, il est devenu indispensable, aujourd’hui, de scinder cette « grande famille » en de tout petits groupes, en fonction des savoir-faire et des

Séance couture pour Monique.

complémentarités, pour garder une activité régulière, et nécessaire, afin d’avancer dans ses projets.
Si toutes ses manifestations prévues ont été annulées jusqu’à présent, il n’en demeure pas moins que toutes ont été ou sont encore minutieusement préparées pour pouvoir réexister le moment venu.
Chacune et chacun se retrouvent, pour ceux qui le veulent et le peuvent, selon son rythme et ses disponibilités et en fonction d’un calendrier établi afin de respecter les consignes sanitaires, avec masques et gel hydroalcoolique, pour « travailler » dans son domaine de prédilection.
Les équipes ont fait un grand ménage de printemps, trié, rangé, donné ou jeté, rien n’a été laissé au hasard.
Tout cela a permis et permet encore de rester en contact et de ne pas rompre le lien social et surtout affectif qui lient ses bénévoles.
Inutile de préciser que tous attendent, avec grande impatience, le moment où, enfin, ils pourront se retrouver dans la joie et la bonne humeur qui les caractérisent.

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